Sur une table repose quelques feuillets, l’un d’entre eux semble posé là, volontairement afin d’attirer le regard, si vous vous approchez, vous pourrez lire ces quelques lignes tracées d’une écriture raffinée :

« Si tu te trouves à lire ces lignes, c’est que tu sembles intéressé par la connaissance du savoir antique… Ou simplement que tu es d’une grande curiosité,… l’un et l’autre ne sont point négatif si utilisés à bon escient. 

Je ne voudrais en aucun cas t’empêcher de découvrir ce que d’autres ignorent – ils ne s’en portent pas plus mal. Mais sache qu’ici, il ne s’agit en aucun cas d’étudier de manière boulimique pour en savoir toujours plus. Non, surtout si tu vises à étudier ce que tous les chercheurs savent déjà. Puise dans ce savoir si tu y tiens. Il n’est jamais mauvais celui que tout le monde sait. Celui qui est dans tous les livres, il n’est que certitude.

Mais si tu espères étudier ici, il faudra que tu saches que c’est pour savoir mieux… Mieux comprendre le monde et ses secrets, percer l’inconcevable et aller toujours plus loin sur les rives de l’inconnu. Par-delà les mers, sans aucune autre considération que de retrouver ce qui a été perdu ».

Signé : Athanor Fugiens

 

Lettre aux résidents

Posted by on Oct 20, 2015 in Registre d'Intendance | 0 comments

Lettre aux résidents

 » Cher tous, membres résidents et chercheurs de l’Axis Mundi,…

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Une fin de soirée au Coerthas

Posted by on Juin 3, 2015 in Athanor | 0 comments

Une fin de soirée au Coerthas

… Quelques semaines auparavant… Il leva les yeux au ciel, la neige, toujours, à perte de vue, sans discontinuer, faisant oublier jusqu’à ce que cet endroit ait pu être des décennies auparavant. Le miquo’te soupira et réajusta sa capuche… Dans cette armure noire qu’il n’avait plus portée depuis longtemps, il se dirigea vers le poste de l’’Arête blanche afin d’y retrouver d’anciennes connaissances. Saluant les gardes aux visages fermés qui le regardèrent avec suspicion, il se dirigea machinalement vers la porte du quartier des gardes. La porte grinça et le vent froid s’engouffra dans la pièce. Une élézenne leva la tête, son expression trahissant une grande surprise : « Vous ! ». Elle bondit de sa chaise et se dirigea vers l’homme, l’enlaçant vigoureusement, au grand étonnement du miquo’te qu’elle dépassait d’une tête. Elle ajouta alors, de la joie perçant dans sa voix : « Je ne pensais pas vous revoir ! Et surtout … en ce moment… ». Il sourit et retirant sa capuche, il jeta un regard aux soldats Durendaire qui se trouvaient attablés non loin d’eux, ahuris par le spectacle… La jeune élézenne leur fit signe qu’il ne fallait pas s’en préoccuper. Elle l’invita ensuite auprès de la cheminée… Une fois tous deux assis, il s’adressa à elle : « Il fallait bien qu’un jour tu me dépasses en taille… Eloïne ! Tu as sans doute bien des choses à me raconter depuis dix ans… Et encore plus ces derniers mois. Racontes-moi tout ! N’omets aucun détail mon enfant, si tu le veux bien ». Ainsi, ils discutèrent une bonne partie de la soirée et de la nuit. Quelques jours passèrent… Et Athanor reprit rapidement ses marques… Une fois passé l’étonnement, les nouveaux chevaliers Durendaire firent la connaissance de cet ancien « ami » de Sir Drillemont. Et au vue de la sollicitude dont Eloïne, sa fille, faisait preuve à son égard… Il était certain qu’il ne pouvait être n’importe qui. Une semaine après son arrivée et alors qu’ils étaient seuls et qu’elle lui avait ramené nombre d’ouvrages dont elle voulait absolument lui parler, il s’adressa à elle : « Eloïne, souhaites-tu toujours, voir le monde, au-delà des montagnes d’Ishgard ? Souhaites-tu toujours contempler les déserts du Thanalan ? Souhaites-tu toujours voir la mer ? » Elle se redressa et ses yeux s’illuminèrent…. Mais elle se calma rapidement. « Il ne serait pas correct de ma part de vouloir déserter notre royaume au pire moment de son histoire… ». Athanor sourit : « Pour certains points, tu le sais bien, j’ai des connaissances qui pourront peut-être vous aider. Pas pour porter soutien au Saint Siège, tu me connais… *Il opine de la tête*… mais pour tout ce qui se passe, pour ton peuple. Pour tous ceux qui ne peuvent faire qu’attendre qu’on les sauve ou mourir de froid. J’ai parlé à ton père, Eloïne… Je veux comprendre. L’histoire du continent se passera ici et maintenant. Et si l’Histoire se passe ici, elle aura besoin d’un chroniqueur !… Je dois rester et que chaque chose soit consigner, que rien ne puisse être oublié… je le dois à mes compagnons. Je dois trouver les vérités derrière tout ce chaos. Mais je n’y parviendrais pas seul ».  Il plongea ses yeux dans ceux de l’élézenne. Elle rougit et détourna le regard. « Qu’attendez-vous de moi, Maître Fugiens ? » « Tu es devenue une femme intelligente, tu connais de nombreux secrets de ce continent sans pour autant les avoir vu...

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Le début de la fin

Posted by on Mai 16, 2015 in La crique des trépassés, Registre d'Intendance | 0 comments

Le début de la fin

Le passage que révélait le puits situé sur notre terrain fut exploré hier. Les personnes présentent lors de cette exploration ont, comme il avait été anticipé, exploré la crique qui se révéla être le repaire des naufrageurs. Durant ce temps, trois personnes restées derrière lors de la fermeture du passage choisirent de se rendre au phare des brumes momentanément accessible et y rencontrèrent son résident. -Le « gardien » de phare est désormais une créature dangereuse et meurtrière. Prière donc de faire preuve d’une extrême prudence lorsque vous serez à proximité du bâtiment. Monsieur Sweige  a semblerait-il perdu la vie dans la confrontation. Aucun corps n’a cependant pu être retrouvé. -La fille de ce gardien est la demoiselle nommée Anabelle Lee. La responsable de tout ce désastre. -Les compagnons à l’issue de leur escapade ont fait la connaissance d’un homme dénommé Allan Poe. Il est à l’origine de l’explosion du phare. Il semblerait que le Gardien refusant qu’il prenne la main de sa fille à moins d’une somme considérable, ce dernier ce soit vengé de la sorte. -Le gardien refusait d’offrir la main de sa fille et la séquestrait. Celle-ci se serait suicidée en se jetant du haut du bâtiment et son père aurait fait porté le chapeau à Allan. Il est vraisemblablement mort dans l’explosion de son phare mais continue à hanter les lieux. – Il y aurait un lieu où le Gardien jeterait ses butins et les cadavres de ses ennemis, situé au fond de la mer. -Priorité : Se débarrasser du Gardien de phare par n’importe quel moyen. Prudence est de rigueur, le contact physique avec cette entité semble impossible. Informations connexes : – Il semblerait que le juge William ait falsifié les documents du procès qui fut mené contre les naufrageurs dans le but de « revoir son épouse ». -Un corps qu’il déterre régulièrement pour passer du temps avec a été retrouvé près de sa propriété. Bien qu’il lui parle avec affection, il ne s’agit pas de la femme aperçue sur l’Elysée (rousse tandis que la mère de sa fille était brune). -Il semblerait que les corps des victimes des naufrageurs étaient jetés en contrebas du repère, près de la propriété du juge William. -En raison des falsifications, deux innocents ont été condamnés : Laurence Greave (dont la femme est Amélia Rose) et Laurentius Holmes. -Elysande Outlaw a échappé au carnage et fut l’une des premières à dénoncer les naufrageurs, dont Dalmas, son fiancé. Celui-ci fut pendu peu après le procès. -Hypothèse de travail : Simons Olivier s’en serait-il tiré à l’aide des falsifications ? -Hypothèse de travail : Comprendre comment les naufrageurs ont pu ainsi faire chanter un juge...

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Rubrique nécrologique…

Posted by on Mai 14, 2015 in La crique des trépassés, Registre d'Intendance | 0 comments

Rubrique nécrologique…

Nous avons le regret de vous informer du décès  de : -R’aelynn Fhey, compagnon. – Lulu (pas de nom de famille connu), compagnon. – Jijito (pas de nom de famille connu), soldat du Maelstrom Ces derniers ont été les malheureuses victime de : – Katrina (alias Z’atina) Zagwang, ancien compagnon. Décédée également. Il a été rapporté que cette dernière fut la responsable de la disparition de nombreux enfants des alentours. Le mobile de ses actes restent à l’heure actuelle inconnu. L’état dans lequel les enfants sont et le lieu où ils sont ou étaient séquestrés est lui aussi inconnu. Aucune information pertinente ne semble avoir pu être arrachée à l’auteur de ce massacre. Les funérailles ont été organisées dans la nuit. Interroger Monsieur Katze pour d’avantage de précision. – Il est recommandé d’agir avec méfiance à l’égard de la dénommé Calypso. Si celle-ci semble avoir repris connaissance depuis peu, il semblerait qu’elle soit parfois « hantée » par la dénommée Anabelle Lee, qui serait la responsable de notre chute dans le néant. Tout complément d’information à propos du carnage de cette dernière nuit doit immédiatement être...

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L’ultime escale de l’Élysée

Posted by on Mai 3, 2015 in La crique des trépassés, Registre d'Intendance | 0 comments

L’ultime escale de l’Élysée

Tandis que certains d’entre nous ont tenté d’explorer sous l’initiative de dame Calypso l’une des épaves échouées, les personnes présentes lors de l’expédition semblent avoir été projetées dans le passé afin de revivre l’ultime voyage du navire. Divers informations ont pu y être récoltées : Le bateau a été coulé alors qu’il se trouvait dans le détroit de Merlthor et s’apprêtait à accoster sur ce qui est aujourd’hui la rive de Brumée. Mr William Dyer a été reconnu comme étant la personne qui collectait les avis de recherches retrouvés chez monsieur Sweige. Il semblerait que sa véritable profession soit « Juge », ce qui explique la présence de temps de procès verbaux dans son domicile. L’hypothèse selon laquelle il est un criminel semble écartée. Sa femme Lysa (propriétaire de la robe trouvée plus tôt) et son enfant Margarette étaient également passagers de ce bateau. La jeune fille semblait contrariée que ses parents aient refusé ses épousailles avec un certain Simons Olivier. Hypothèse : Un naufrageur qui comptait faire de l’enfant leur prochaine victime afin de récupérer sa coquette dot. Une personne surnommée « La marque » était présente aux côtés du capitaine, très reconnaissable en raison de la balafre lui raturant le visage. Les personnes présentes sur le bateau s’inquiétaient de l’état d’angoisse dans lequel se trouvait leur capitaine. Pour cause : Ce dernier n’aurait pas régler une certaine « somme » qui aurait été dû au gardien du phare. Ils étaient visiblement en affaire depuis des années et le Gardien exigeait le versement d’une dîme par tous les capitaines de vaisseau afin de faire briller le phare. Lors de la dernière traversée, la dette n’a pas été réglée et la lumière fut alors éteinte tandis que le navire approchait. Lorsque la lumière fut éteinte, un navire pirate surgit et pris d’assaut l’Élysée. Il fut bombardé et une fois échoué contre les récifs, abandonné afin que soit récupéré le butin plus tard une fois tous les occupants morts de faim. La navire pirate fut surnommé « le spectre » par certains matelots. Une pieuvre géante semblait dessinée sur sa coque, à moins que ce fut une véritable créature… En l’absence de source de lumière, deux versions subsistent. Hypothèse de travail : Le juge ayant probablement perdu sa femme et sa fille lors de cette expédition aurait lui même fait sauter le phare du gardien créancier et aurait cherché toute sa vie à faire condamner les naufrageurs. Hypothèse de travail : Chercher toute information sur un certain Simons Olivier. Hypothèse de travail : Le gardien du phare agissait sous les ordres des naufrageurs ou en était le principal...

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Dernières paroles d’une moins-que-rien et autres découvertes

Posted by on Avr 29, 2015 in La crique des trépassés, Registre d'Intendance | 0 comments

Dernières paroles d’une moins-que-rien et autres découvertes

Résumé des évènements d’il y a quelques soleils : -Quelques personnes se sont vues projetées dans une vision du passé dans laquelle ils ont pu faire connaissance avec une certaine Aldyet Hault, serveuse. Elle avait été achetée en tant qu’esclave par un dénommé Bill. Aldyet acceptait sa situation misérable dans l’espoir de récolter quelques pièces, argent qu’elle transférait à ses parents, éleveurs de chocobos et miséreux (Lysa et Matthew). Il fut découvert que l’argent était en réalité intercepté par Bill et que les parents de la jeune fille avait été tués par ce dernier. Il fut tenté de venir en aide à la jeune fille en dérobant un navire mais l’équipe fut rattrapée et la jeune fille finalement tuée par son tortionnaire. D’après ce qu’il a été rapporté, elle s’est éteinte en remerciant les personnes présentes pour avoir tenté de lui venir en aide. L’affaire de cette jeune femme semble… « résolue ». -Quelques noms appartenant aux naufrageurs ont étés relevés au cours de cette expédition : Olivier, Bill, Siegfrid , Bobbie , Carl. Impossible de savoir pour le moment s’ils nous seront d’une quelconque utilité. – Le cadavre d’un enfant a été retrouvé en bordure du quartier de Brumée. Une surveillance constante des habitants est recommandée. La thèse de l’accident est écartée au vu de l’état du cadavre et de l’acharnement dont il semble avoir été victime. Événements plus récents : – Mesdemoiselles Katrina et S’khenna sont toujours introuvables à ce jour. -Mademoiselle Calypso a rapporté l’existence d’un repaire sous le phare appartenant aux naufrageurs de jadis par lequel il est possible d’accéder via trois voies : Une entrée se situe à flanc de falaise, en hauteur. Une autre entrée se fait par une grotte à l’emplacement encore inconnu et la dernière par la mer au nord mais elle est désormais inaccessible en raison des tourments de cette dernière depuis quelques soleils. – Il fut émis l’hypothèse que l’entrée de cette grotte « humide et froide » se situe dans le puits condamné se trouvant dans le jardin du centre. Mademoiselle Calypso est finalement parvenue à déjouer le mécanisme et à révéler une série de marches s’enfonçant dans la pénombre. Il faut désormais explorer le souterrain ainsi dévoilé. Prière de prévoir des équipements et de faire preuve de...

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Dans la cave

Posted by on Avr 23, 2015 in La crique des trépassés, Registre d'Intendance | 0 comments

Dans la cave

De récentes investigations ont mis au jour une cave dans ce qui était la maison de monsieur Sweige. Quelques nouvelles informations : – Découverte d’un  avis de recherche comprenant un dessin d’une jeune femme aux cheveux noirs, portant un chignon soigné. Il est noté en dessous « Amelia Rose, 17 ans, disparue au Martinet »* – Découverte d’un poème à côté de cet avis : « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend.  » – Le propriétaire de la cave  travaillait certainement dans le domaine de la justice. – Découverte d’une liste de course comprenant des fleurs, du vin, et … une pioche. – Le propriétaire est toujours bien habillé, à chaque fois il porte un costume complet gris. – Découverte d’une robe noire ouvragée et chic, appartenant certainement à une riche jeune femme. – Hypothèse de travail : Il séduit des femmes, leur fait enfiler cette robe et les tue par la suite. – Hypothèse de travail : Si il travaillait réellement dans la justice, il aurait pu couvrir les actions des naufrageurs. -Découverte d’une aventurière dans la montagne, prénommée Calypso. Semble originaire de la région (ou du moins en connait l’histoire). Ramenée au centre, n’hésitez pas à lui poser des...

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Des nouvelles…

Posted by on Avr 20, 2015 in La crique des trépassés, Registre d'Intendance | 0 comments

Des nouvelles…

Mesdames, messieurs, Le temps semble avoir viré à l’orage et le soleil n’a plus laissé percer le moindre éclat depuis ce soir d’investigation. La pêche est devenue laborieuse, voire même impossible. Prière donc de rationner votre consommation de nourriture. Ci-dessous consignées les rares informations que nous disposons en complément : -Découverte d’un briquet de silex couvert de poudre. Très odorant d’après mademoiselle S’khenna. Un « A » apparait dessus. – Un certain Jacque Poe qui s’est fait voler son âme par un démon « humide et froid ». Hypothèse de travail : La mer ? – Découverte de deux poèmes et d’une lettre d’adieu. Ils sont laissés à disposition sur le bureau. – Emil Clarendon est le propriétaire actuel du phare qui fut détruit ce soir par la tempête. -Un anneau en laiton avec le symbole de Llymalaen gravé dessus fut découvert. -Emil est l’auteur du poème du labyrinthe et a disparu. -Jack Poe est l’auteur du second poème et travaille au phare de Moraby. Il semble être parti en bateau. Les deux étaient en...

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Complément d’enquête

Posted by on Avr 14, 2015 in La crique des trépassés, Registre d'Intendance | 0 comments

Complément d’enquête

*Une note est ajoutée aux précédentes, visiblement tracée de la même plume* De nouvelles informations qu’il est surement utile de connaitre m’ont été rapportées : – Un esprit semble se plaire à faire revivre les événements les plus douloureux de certains de nos membres. Ainsi nombres d’entre vous ont pu assister à  la malheureuse exécution d’une dénommée Selenna (compagne de monsieur Sweige) par un peloton de l’empire. Méfiance : Les balles tirées lors de ce qui semblait être seulement la vision d’un souvenir ont blessés les spectateurs.  Aucun mort à déplorer mais certains ont été blessés sévèrement. Redoublez de prudence : Les visions sont bien plus que de simples images. -Un médaillon a été trouvé sur le sol, tenu par la victime. Il ne semble pas avoir de lien avec l’affaire en cours. Un souvenir familial qui a été rendu à monsieur Sweige. -Katze,  perdant le contrôle à la vue du sang a vu ses armes confisquées. Merci de ne pas lui en fournir de nouveaux. – Mademoiselle Fioren et mademoiselle Eydis ont trouvé la mort. Aucun lien toutefois avec l’affaire en cours, conséquence d’actes réalisés bien avant la « chute » de Brumée dans le néant. Une cérémonie sera organisée en temps voulu. -Un phare semble apparaitre d’après les dires de monsieur Archembald, construit par un certain Lee. Il fut détruit il y a quelques années et un nouveau fut construit un peu plus loin. Les décombres de l’ancien phare sont inaccessibles, les fondations de celui-ci s’étant écroulées. Des traces de poudres ont été retrouvées parmi les débris. Conclusion : Un éboulement visiblement peu naturel. -Nécessité de trouver un habitant originaire du coin qui saura nous en dire plus sur l’histoire de ce phare. Nécessité également de trouver un moyen d’accès a ce dernier. Hypothèses soulevées : Une explosion pour dégager les décombres (un refus unanime a déjà été émis à l’encontre de cette idée), ou attendre que la lueur de ce phare soit de nouveau visible afin d’avoir éventuellement de nouveau accès aux lieux. Autre idée : Surveiller le temps. Monsieur I’rkha a parlé de « phare des brumes », le bâtiment n’apparaitrait-il que par temps mauvais ?   Je reste à votre disposition pour l’annonce de toute nouvelle découverte que vous pourriez...

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Une mission dans le Carteneau…

Posted by on Avr 12, 2015 in Athanor | 0 comments

Une mission dans le Carteneau…

Ceci est le récit d’une des premières missions réalisées par Athanor Fugiens au service de l’Ordre de l’Agartha… Véritable baptême du feu pour celui-ci : Elle avait lieu dans un endroit loin de toutes civilisations vivantes ou du moins, loin des tentacules de toutes les cités-états. Il s’agissait des plaines de Carteneau, aujourd’hui tristement célèbres. Saint-Coinach, qui avait déjà identifié quelques menus restes Allagois dans le Mor Dhona, et il semblait qu’il devait y en avoir tout autant dans le Carteneau. Il était étonnant à l’époque, de voir que d’autres sévissaient dans ces lieux, les Garlemaldais principalement, ne voulant pas chercher querelle, ils tentaient de les éviter. Sans pour autant prévenir les cités-états de leur présence, neutralité oblige. La plus grande découverte des Fils de Saint Coinach et des Elèves de Baldesion à cette époque fut une étrange structure, enfoncée dans la roche des falaises. Une découverte qui fut totalement placé sous le sceau du secret. Les deux structures, à bien des égards, étroitement imbriqués, avait envoyé plusieurs de leurs meilleurs éléments sur place, ainsi quelques apprentis, dont faisait partie Athanor. Il s’agissait d’un très ancien complexe, dont certains morceaux semblaient encore en activité. Une étrange lueur bleutée nimbait tout l’endroit, il semblait vivant, et cette substance qui nervait chacune de ses parois semblaient tel du sang, alimenter son organisme. Les lieux étaient étranges et ils les identifièrent rapidement comme étant des restes de la civilisation allagoises. L’endroit, de par son âge, n’avait pas été épargné par les fréquents séismes ; ils alternèrent ainsi entre des tronçons actifs et d’autres totalement sombres et inertes. Après prêt d’une heure à déambuler dans ces lieux, ils arrivèrent dans une vaste salle. Cela devait être la première expérience de ce type pour eux… Dans cette salle, on trouvait des dizaines de cocon d’une matière indéfinie dans lequel se reflétaient des silhouettes humanoïdes. En se rapprochant, il découvrir que la plupart n’était que des « cadavres » dans des bocaux. Conservés par le liquide indescriptible, le temps les avait néanmoins transformés en momie. Pourtant dans un coin, se trouvèrent deux cocons qui contre toute attente, semblait encore en activité, du moins, le fluide bleuâtre circulait. Et quel ne fut pas leur étonnement de découvrir deux êtres humains, en parfait état de conservation, un homme et une femme, endormis. Les archéologues et historiens commencèrent à débattre, est-ce qu’ils étaient toujours en vie, qui étaient-ils, n’était-il pas dangereux de les « réveiller » et de toute façon, comment procéder ? Pendant ce temps, le jeune Athanor, poussé par la curiosité, se dirigea vers la partie la plus sombre… Et ce qu’il y trouva, devait changer sa vie. Dans cette autre salle se trouvait également des « cocons », d’un autre type, plus… scientifiques, dans le sens… lieu d’expérimentation plus que de conservation. Dans un de ces « tubes à essais » géant se trouvait une femme, ou non, plutôt, une miquote à la peau d’ébène. Ses cheveux noirs ruisselaient sur ses épaules. Elle était presque nue, à l’exception de son torse, en partie … métallique. Oui, le métal semblait surgir, se mêler à sa peau. La chose lui parut tout aussi choquante que fascinante. Quand il se rapprocha du tube et posa sa main sur la surface du verre, elle ouvrit les yeux. Il sursauta et fit un bond en arrière, manquait de renverser tout une...

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