Posted by on Mar 2, 2015 in Membres | 0 comments

Nom : Heimdall

Prénom : Crisis

Race : Hyur

Ethnie : Hyuroise

Date de naissance : 23ème soleil de la 6ème Lune Ombrale.

Origine : Née à Ala Mhigo.

Métier : Aventurière, elle exécute de temps à autre des missions.

Capacités sociales : C'est beaucoup de politesse et de sourires, une légère distance qu'on hésite à franchir. Crisis vouvoie, courtoise, et parfois bégaie; tout ça, ses belles formules, c'est pour cacher la vulgarité qu'elle emploie en réalité. Plus on se rapproche de Crisis, plus son langage devient familier. C'est chez elle signe de confiance, et elle accorde cette dernière très vite.
Cela vient de sa maladresse sociale, une implication démesurée ou une objectivité froide, distante. Elle jongle entre les deux, avec ses amis les plus proches comme les gens qu'elle croise dans la rue; elle proposera sa vie pour aider quelqu'un, et si le lendemain cette personne vient pleurer dans ses bras, Crisis ne lui tiendra pas de beau discours, juste des théories et explications rationnelles, sans implication sentimentale.
Elle ne saisit juste pas tout des rapports humains, et se protège à sa manière. C'est du moins ce dont elle essaye de se convaincre, alors qu'elle recommence à nouveau une journée sur cette pensée.

Capacités guerrières : Nulle. Crisis ne manie aucune arme, pas même le couteau de cuisine, et fait preuve d'une maladresse incroyable avec ce genre de choses. C'est toutefois une élementaliste appliquée, et elle excelle dans l'art de la guérison. Elle connait quelques rares sorts offensifs, dont elle ne se sert pratiquement jamais.

Affinité avec l’élément : Vent.

Croyances : Comme la majorité des Eorzéens, elle voue un culte aux Douzes.

Alignement : Neutre

Familier : Un dodo, invocation d'Ether plus ou moins ratée qu'elle laisse dans sa chambre.

Goûts : Crisis est passionnée par les coutumes, cultures, technologies autres que celles Eorzéennes; que ce soit la culture des peuples barbares ou celle d'un Empire disparu, la technologie des Impériaux ou celle d'un peuple nomade... Elle aime savoir, comprendre, reproduire. De façon complémentaire, elle adore pouvoir prendre son temps; se hâter signifie généralement bâcler le travail et c'est quelque chose qu'elle ne supporte pas.
Dans un registre plus ludique, elle adore les Chocobos (et encore, le mot est faible), lire, peindre et s'occuper des bêtes à plumes. Elle n'est pas difficile, se contente souvent de ce qu'on lui donne ou ce qu'elle trouve.

Dégoûts : Le travail bâclé. Elle a la sainte horreur du travail bâclé. Elle a aussi énormément de mal avec le silence, où qu'elle soit et quoiqu'elle fasse; un fond sonore lui est vital. Et la médaille d'or revient à l'Empire, elle ne le cache pas. Comme la moitié d'Eorzéa, elle en a trop souffert pour y rester insensible.

Traits de caractères : Paradoxale, tantôt avenante, tantôt distante. Crisis vit à son rythme, selon sa morale. Elle est convaincue que le bien et le mal sont deux concepts nécessaires au monde, et que tout acte peut être justifié; c'est tout du moins l'apparence qu'elle se donne, car lorsqu'elle est touchée par ce genre de choses, elle révise son jugement. Ce fut le cas pour l'Empire. Elle tâche de rester impartiale, mais elle est bien trop émotionnelle. Et ça, c'est une partie d'elle qu'elle ne supporte pas.
Outre ça, elle vit par et pour la recherche. C'est quelqu'un de très terre-à-terre, qui déteste perdre ses moyens (sauf lorsqu'il s'agit de Chocobos ou de livres). Elle est complètement obnubilée par le savoir, victime d'une curiosité insatiable qu'elle cherche désespérément à combler. Si jamais vous la cherchez, soyez sûr de la trouver non loin de bouquins ou dossiers.

Caractéristiques physique : Et car lorsqu'elle se regarde dans le miroir, le rouge de ses cheveux lui rappelent le sang ruisselant sur ses mains, le bleu de ses yeux le dernier regard qu'Arys lui a donné. Le corps de Crisis est resté figé depuis cinq ans; deux centimètres, un kilo, rien de plus, rien de moins. Seule sa tignasse s'efforce encore de pousser. Crisis, ramenant ses mains sur sa poitrine, cache un complexe de ne jamais la voir grandir. Elle ne se plaint pas. Elle s'est fait une raison, avec le temps; elle n'y pouvait et n'y peut toujours rien. Mais ses cheveux, encore une fois, ont commencé à changer. Des mèches blanches se dessinent progressivement parmi le rouge sanguin, dépossédées d'Ether. Elle a une vague idée de la cause, mais elle n'a jamais été quelqu'un très axée sur l'apparence.

Capacité spéciale totalement absurde : Elle imite le cri des Chocobos à la perfection.

Inventaire : Un bracelet offert par son père, des chocoperles, un carnet de notes, un crayon et un miroir.